Ma muse
Ça ma muse tu sais
Quand tes cheveux
lâchés
Sur ton visage
Caché
Dans l'ombre ton sourire
Dissimule et opère
Sur moi
Une atmosphère
De joie
- Et j'en perds mes repères -
Tu t'en fou. Et encore,
La foudre dans mon corps
Éclate de partout.
Inspiration vaudoue.
Libère ton visage,
Remonte tes cheveux.
Tu n'en es pas moins sage
Quand j'entre dans tes yeux.
J'aperçois plus au fond
Une jeunesse usée
Par des coups de bâton.
Souffrance à digérer.
Des gestes mécaniques
Contrôlés, bien réglés
Contraste avec ta soif de vivre en liberté.
Et plus je te déguste, plus je te digère.
Cannibalisme avide
De fabriquer des mots.
La muse du poète
Musèle son bourreau
Jusque dans ses artères,
Son plus petit vaisseau.
Les tripes à découvert
Revomissant bientôt,
Sans pouvoir contrôler, les mots qui dégoulinent
Inondent le papier, affligeants ou sublimes.
Je voudrais indiqué que plus que le coït
La sensation alors est quasi-orgasmique.
Du fou ou du poète
Les rêves sont truqués.
Tu entrouvres les lèvres
Et des lettres perlées
S'enroulent dans ma tête
Pour mieux se reformer
En mots qui dégringolent
Cascade de coroles.
Je resterais des heures
A m'abreuver de toi
Vampirisant ton cœur
Engloutissant ta voix.
Quand tes cheveux
lâchés
Sur ton visage
Caché
Dans l'ombre ton sourire
Dissimule et opère
Sur moi
Une atmosphère
De joie
- Et j'en perds mes repères -
Tu t'en fou. Et encore,
La foudre dans mon corps
Éclate de partout.
Inspiration vaudoue.
Libère ton visage,
Remonte tes cheveux.
Tu n'en es pas moins sage
Quand j'entre dans tes yeux.
J'aperçois plus au fond
Une jeunesse usée
Par des coups de bâton.
Souffrance à digérer.
Des gestes mécaniques
Contrôlés, bien réglés
Contraste avec ta soif de vivre en liberté.
Et plus je te déguste, plus je te digère.
Cannibalisme avide
De fabriquer des mots.
La muse du poète
Musèle son bourreau
Jusque dans ses artères,
Son plus petit vaisseau.
Les tripes à découvert
Revomissant bientôt,
Sans pouvoir contrôler, les mots qui dégoulinent
Inondent le papier, affligeants ou sublimes.
Je voudrais indiqué que plus que le coït
La sensation alors est quasi-orgasmique.
Du fou ou du poète
Les rêves sont truqués.
Tu entrouvres les lèvres
Et des lettres perlées
S'enroulent dans ma tête
Pour mieux se reformer
En mots qui dégringolent
Cascade de coroles.
Je resterais des heures
A m'abreuver de toi
Vampirisant ton cœur
Engloutissant ta voix.
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